La Côte de Beauté - N°45 - Mars/Avril 2000
Panser les plaies : les stations préparent la saison au mieux
Légendes des photos
parues en pages 6 et 7 dans le journal :
La commune des Mathes-La Palmyre a fait appel à une entreprise d'exploitation forestière portugaise, de janvier jusqu'à fin mars, pour pouvoir sécuriser et déblayer tous les endroits publics de la commune.
A Royan, la mer était tellement forte que sur le bd Germaine de la Falaise, elle a cassé le parapet.
On ne reconnaît pas le parc de la mairie de Vaux : la plupart des grands arbres n'ont pas résisté à la tempête.
Les couvreurs sont débordés de travail. Beaucoup de résidences secondaires, comme celle-ci au bord de la plage de Nauzan, sont en travaux. Mais il reste encore des maisons dont les propriétaires ne sont pas venus voir les dégâts.
Les rues de Ronce-les-Bains, début mars, n'étaient toujours pas dégagées des branches et troncs des arbres victimes de la tempête. La commune de La Tremblade, devant l'ampleur des dégâts et des sommes déjà versées, avait décidé de stopper les ramassages, estimant que c'est la compétence de la communauté de communes. A partir de fin mars, toutes les rues seront dégagées. Concernant les arbres des particuliers, qui pourraient présenter un danger pour le public, la mairie effectuera des mises en demeure de les couper pour que toute la commune soit sécurisée pour la saison.
A Royan, c'est le quartier du Parc qui a été le plus touché par la tempête. Outre les villas, le jardin du Parc a subi d'importants dommages. Les employés de la ville ont encore quelques semaines de travail avant d'avoir tout déblayé. Quand on se promène dans le Parc, on peut mesurer l'ampleur des dégâts en découvrant des villas qui étaient jusque-là dissimulées derrière d'immenses pins. La mairie souhaite que tout ait retrouvé son aspect normal pour les vacances de Pâques. La difficulté maintenant pour beaucoup de Royannais est de trouver des artisans pour faire les travaux de réparation. Tous sont débordés et ont leurs carnets de commandes pleins.
Saint-Georges-de-Didonne. La commune va utiliser les troncs des pins pour aménager l'aire de pique-nique près de la plage de Suzac. Saint-Georges a reçu de l'aide de sa ville Jumelée Gaienhofen. Dix Allemands dont le maire sont venus, équipés de tronçonneuses, pour aider à dégager les chemins forestiers. La ville allemande a aussi ouvert un compte pour collecter des dons.
Meschers. Sur la falaise, il ne reste qu'un ou deux carrelets debout, les autres ont tous été balayés par la tempête. Les plages, elles, n'ont pas trop souffert. Après un bon nettoyage, tout sera rentré dans l'ordre, elles ne nécessitent pas de réensablement.
Saint-Palais. A cause de la tempête autour de Paris, le matériel pour réparer l'éclairage public, dont la remise en état coûtera près de 360 000 F, n'est arrivé que fin février. S'il y a moins d'arbres cette année, la station devrait être particulièrement fleurie pour accueillir les vacanciers.
La commune des Mathes-La Palmyre a fait appel à une entreprise d'exploitation forestière portugaise, de janvier jusqu'à fin mars, pour pouvoir sécuriser et déblayer tous les endroits publics de la commune.
A Royan, la mer était tellement forte que sur le bd Germaine de la Falaise, elle a cassé le parapet.
On ne reconnaît pas le parc de la mairie de Vaux : la plupart des grands arbres n'ont pas résisté à la tempête.
Les couvreurs sont débordés de travail. Beaucoup de résidences secondaires, comme celle-ci au bord de la plage de Nauzan, sont en travaux. Mais il reste encore des maisons dont les propriétaires ne sont pas venus voir les dégâts.
Les rues de Ronce-les-Bains, début mars, n'étaient toujours pas dégagées des branches et troncs des arbres victimes de la tempête. La commune de La Tremblade, devant l'ampleur des dégâts et des sommes déjà versées, avait décidé de stopper les ramassages, estimant que c'est la compétence de la communauté de communes. A partir de fin mars, toutes les rues seront dégagées. Concernant les arbres des particuliers, qui pourraient présenter un danger pour le public, la mairie effectuera des mises en demeure de les couper pour que toute la commune soit sécurisée pour la saison.
A Royan, c'est le quartier du Parc qui a été le plus touché par la tempête. Outre les villas, le jardin du Parc a subi d'importants dommages. Les employés de la ville ont encore quelques semaines de travail avant d'avoir tout déblayé. Quand on se promène dans le Parc, on peut mesurer l'ampleur des dégâts en découvrant des villas qui étaient jusque-là dissimulées derrière d'immenses pins. La mairie souhaite que tout ait retrouvé son aspect normal pour les vacances de Pâques. La difficulté maintenant pour beaucoup de Royannais est de trouver des artisans pour faire les travaux de réparation. Tous sont débordés et ont leurs carnets de commandes pleins.
Saint-Georges-de-Didonne. La commune va utiliser les troncs des pins pour aménager l'aire de pique-nique près de la plage de Suzac. Saint-Georges a reçu de l'aide de sa ville Jumelée Gaienhofen. Dix Allemands dont le maire sont venus, équipés de tronçonneuses, pour aider à dégager les chemins forestiers. La ville allemande a aussi ouvert un compte pour collecter des dons.
Meschers. Sur la falaise, il ne reste qu'un ou deux carrelets debout, les autres ont tous été balayés par la tempête. Les plages, elles, n'ont pas trop souffert. Après un bon nettoyage, tout sera rentré dans l'ordre, elles ne nécessitent pas de réensablement.
Saint-Palais. A cause de la tempête autour de Paris, le matériel pour réparer l'éclairage public, dont la remise en état coûtera près de 360 000 F, n'est arrivé que fin février. S'il y a moins d'arbres cette année, la station devrait être particulièrement fleurie pour accueillir les vacanciers.
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Courrier des lecteurs
De M. Robert Raymond [Ajain] propriétaire à Roya