Sommaire du journal N°155 - Août-Septembre 2018

Chers lecteurs,

Le coût de l’immobilier est le reflet de l’attrait d’un lieu. L’embellie de l’immobilier constatée sur la Côte de Beauté, avec Royan en tête de pont, est, à cet égard, significative. Les recettes du casino de Pontaillac se maintiennent à un niveau élevé, l’excellence du marché alimentaire de Royan servi par une architecture extraordinaire est un véritable atout, le succès du zoo de La Palmyre ne se dément pas, etc. On pourrait multiplier les exemples sur l’attractivité de Royan et de la Côte de Beauté. Bien sûr il y a la mer mais cela ne suffit pas. Arcachon et le Cap Ferret sont plus «chics» – donc plus chers – Hossegor et l’île de Ré également. Royan et la Côte de Beauté et l’île d’Oléron plus «populaires».

Il y a pourtant une manifestation Un violon sur le sable – due au talent de son fondateur Philippe Tranchet – qui lie le chic et le populaire et rehausse le prestige de Royan. Elle a lieu fin juillet mais manque cruellement en août. Bien sûr, la CARA avec ses jeudis musicaux dans les églises, Saint-Georges-de-Didonne avec son festival Humour et eau salée, Vaux-sur-Mer avec ses concerts gratuits de vedettes, le Parc de l’Estuaire avec ses ateliers et sorties festives – et on en oublie – proposent des animations aux résidents et aux vacanciers mais elles sont modestes. 

Il reste à imaginer pour le mois d’août – et pourquoi pas en septembre avec sa cohorte de retraités aisés – un festival de l’ampleur de Un violon sur le sable. Et à y mettre les moyens...

Claude Fouchier

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