Sommaire du journal N°19 - Novembre/Décembre 1995
Chers lecteurs,
Le sans-gêne et la bêtise ont triomphé à Vaux-sur-Mer. On a massacré, à la tronçonneuse, des yeuses du chemin des Douaniers. L'opération s'est faite, sans vergogne, en plein jour, devant certains de nos lecteurs effarés qui n'ont pu s'opposer au "travail" de celui qui tenait la tronçonneuse pour le compte d'un riverain, apparemment propriétaire du sol, donc des racines des chênes. Ce mauvais coup a eu lieu après les soins méticuleux apportés à ces yeuses par la commune de Vaux, l'hiver dernier, et à quelques mètres des yeuses de 200 ans, traitées, il y a quelques mois, par la commune de Saint-Palais et l'association Protect-Style... Et quelques semaines avant le classement à l'inventaire des sites qui aurait définitivement mis ces yeuses, très rares sur la côte, sous la protection de l'Etat. Ceci explique, sans doute, cela. Il est, dans ces conditions, impossible d'admettre une telle mauvaise action même si, aux yeux de la loi, le propriétaire était en droit de la commettre. La Justice le dira puisque la commune a porté plainte. Mais, en tout état de cause, on ne mutile pas l'un des plus beaux endroits de la côte de Beauté et l'un des lieux de promenade favoris de milliers de personnes pour simplement dégager la vue sur la mer de la piscine de sa villa.
Le sans-gêne et la bêtise ont triomphé à Vaux-sur-Mer. On a massacré, à la tronçonneuse, des yeuses du chemin des Douaniers. L'opération s'est faite, sans vergogne, en plein jour, devant certains de nos lecteurs effarés qui n'ont pu s'opposer au "travail" de celui qui tenait la tronçonneuse pour le compte d'un riverain, apparemment propriétaire du sol, donc des racines des chênes. Ce mauvais coup a eu lieu après les soins méticuleux apportés à ces yeuses par la commune de Vaux, l'hiver dernier, et à quelques mètres des yeuses de 200 ans, traitées, il y a quelques mois, par la commune de Saint-Palais et l'association Protect-Style... Et quelques semaines avant le classement à l'inventaire des sites qui aurait définitivement mis ces yeuses, très rares sur la côte, sous la protection de l'Etat. Ceci explique, sans doute, cela. Il est, dans ces conditions, impossible d'admettre une telle mauvaise action même si, aux yeux de la loi, le propriétaire était en droit de la commettre. La Justice le dira puisque la commune a porté plainte. Mais, en tout état de cause, on ne mutile pas l'un des plus beaux endroits de la côte de Beauté et l'un des lieux de promenade favoris de milliers de personnes pour simplement dégager la vue sur la mer de la piscine de sa villa.
La Côte de Beauté
- La qualité des eaux de baignade
- Renforcement du pont de la Seudre
- Succès pour la liaison aérienne Paris-Rochefort
- Le fil à couper l'huître
Meschers-sur-Gironde
Saint-Georges-de-Didonne
Royan
- Une patinoire sur la plage
- Les eaux de baignade de Pontaillac à l'étude
- Concertation sur le marais de Pousseau
Vaux-sur-Mer
Saint-Palais-sur-Mer
Les Mathes-La Palmyre
La Tremblade-Ronce-les-Bains
Nature
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Commentaires
Courrier des lecteurs
De Jean-Marie Perraudeau (commentaire déposé sur le site)