Sommaire du journal N°33 - Mars/Avril 1998

Chers lecteurs,

Le pont sur l'estuaire de la Gironde est une sorte de serpent de mer qui surgit régulièrement. Au risque de décevoir ses partisans, il est à peu près certain aujourd'hui qu'il ne se fera jamais. Pour des raisons financières bien sûr mais aussi parce que le projet d'une grande rocade au nord de Bordeaux en réduit l'intérêt pour les Médocains. Ceux-ci en ont d'ailleurs fait leur deuil et décidé de jouer la carte du tourisme naturel – et naturiste – plutôt que celle, très aléatoire, de l'implantation d'entreprises génératrices d'emplois locaux.
C'est aussi la voie que prennent 14 communes dont Saint-Georges-de-Didonne, Meschers et Talmont qui, en Charente-Maritime, ont la chance comme leurs voisins médocains de border l'estuaire le moins industrialisé d'Europe.
Les deux départements de la Gironde et de la Charente-Maritime, riverains de l'estuaire, se sont associés dans un programme de quelque 30 millions de francs, dans lequel l'Europe apporte 13 MF, pour développer un tourisme de découverte, celle d'une nature préservée.

La Côte de Beauté

Meschers-sur-Gironde

Saint-Georges-de-Didonne

Royan

Vaux-sur-Mer

Saint-Palais-sur-Mer

Les Mathes-La Palmyre

La Tremblade-Ronce-les-Bains

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