Sommaire du journal N°48 - Septembre/Octobre 2000
Chers lecteurs,
Les parcs de loisirs marchent bien dans l'ensemble. Et les jardins sont à la mode.
Les passionnés qui, depuis des années, militent pour la protection de l'environnement ne sont plus considérés comme des écologistes attardés mais ils sont de plus en plus sollicités pour animer des "sorties nature", aménager des maisons de la dune, de l'estuaire, ou des sentiers en forêt "à la découverte de la faune et de la flore"...
Dans ces conditions, le projet des "Jardins du monde", à Royan, peut atteindre les
300 000 visiteurs annuels espérés, pour un coût qui, comparé à d'autres entreprises de ce type, n'est pas excessif, d'autant plus que le Département, la Région, l'Etat et bien sûr le Pays royannais ont mis la main à la poche pour financer plus des trois-quarts de la réalisation.
De toute façon Royan et la Côte de Beauté n'ont pas le choix. Car aujourd'hui, pour retenir le promeneur ou le vacancier et attirer un nouveau public hors saison, il faut créer des animations.
De ce point de vue, l'exposition "Royan 2000, un siècle, deux fois construite", avec 10 000 visiteurs, cet été, a été une belle réussite. Ce qui est un encouragement à la réalisation d'un autre projet susceptible de séduire le plus grand nombre : le Musée des années 50.
A une bien moins grande échelle, le Trogloscope de Christian Curaudeau, à Meschers, qui a bâti un cinéma dans un moulin, a attiré 95 spectateurs. Cette initiative privée n'est évidemment pas comparable à celles des collectivités.
Mais, loin de prêter à sourire, elle peut, à terme, étoffer, elle aussi, le programme d'animations permanentes de la Côte de Beauté.
Les parcs de loisirs marchent bien dans l'ensemble. Et les jardins sont à la mode.
Les passionnés qui, depuis des années, militent pour la protection de l'environnement ne sont plus considérés comme des écologistes attardés mais ils sont de plus en plus sollicités pour animer des "sorties nature", aménager des maisons de la dune, de l'estuaire, ou des sentiers en forêt "à la découverte de la faune et de la flore"...
Dans ces conditions, le projet des "Jardins du monde", à Royan, peut atteindre les
300 000 visiteurs annuels espérés, pour un coût qui, comparé à d'autres entreprises de ce type, n'est pas excessif, d'autant plus que le Département, la Région, l'Etat et bien sûr le Pays royannais ont mis la main à la poche pour financer plus des trois-quarts de la réalisation.
De toute façon Royan et la Côte de Beauté n'ont pas le choix. Car aujourd'hui, pour retenir le promeneur ou le vacancier et attirer un nouveau public hors saison, il faut créer des animations.
De ce point de vue, l'exposition "Royan 2000, un siècle, deux fois construite", avec 10 000 visiteurs, cet été, a été une belle réussite. Ce qui est un encouragement à la réalisation d'un autre projet susceptible de séduire le plus grand nombre : le Musée des années 50.
A une bien moins grande échelle, le Trogloscope de Christian Curaudeau, à Meschers, qui a bâti un cinéma dans un moulin, a attiré 95 spectateurs. Cette initiative privée n'est évidemment pas comparable à celles des collectivités.
Mais, loin de prêter à sourire, elle peut, à terme, étoffer, elle aussi, le programme d'animations permanentes de la Côte de Beauté.
La Côte de Beauté
- Le mois d'août sauve la saison
- «La forêt n'a pas brûlé»
- Sauveteurs en mer : sur le pont toute l'année
- A bord du baliseur du Verdon
- Droit : la réglementation des nuisances sonores (suite)
- Immobilier : Vaux, une forte demande pour le centre
Meschers-sur-Gironde
Saint-Georges-de-Didonne
Royan
Vaux-sur-Mer
Saint-Palais-sur-Mer
Les Mathes-La Palmyre
La Tremblade-Ronce-les-Bains
- La plate-forme conchylicole ouvre fin septembre
- Un Trembladais détourne l'eau du cimetière pour remplir sa piscine
Nature
Portrait
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Commentaires
Courrier des lecteurs
L’association Les Contribuables royannais nous a fait parvenir un courrier s’interrogeant sur les actions de la communauté d’agglomération Royan Atlantique pour réduire ses dépenses.