Sommaire du journal N°51 - Mars/Avril 2001
Chers lecteurs,
Finalement les élus municipaux "y retournent".
Beaucoup avaient pourtant manifesté, il y a quelques mois encore, leur intention de renoncer. Ils étaient exaspérés par une administration d'Etat les accablant de textes et de circulaires, prenant ainsi une sorte de revanche après la peur qu'elle avait eue en se croyant dessaisie de ses privilèges à la suite des lois de décentralisation.
Les élus locaux étaient surtout scandalisés de se voir traînés devant les tribunaux et souvent condamnés pour des accidents survenus sur le territoire de leur commune et dont on les accusait d'être responsables.
Le gouvernement et le parlement les ont entendus.
Ainsi la loi du 10 juillet 2000 prévoit-elle que les élus ne seront condamnés que s'ils ont «violé de façon manifestement délibérée une obligation particulière de prudence ou de sécurité», ou commis «une faute caractérisée».
Ainsi rassérénés, la plupart des maires ont accepté de rempiler. Et ils se retrouvent d'ailleurs, le plus souvent, avec des listes concurrentes.
La démocratie locale est donc sauve.
Elle s'est même améliorée car, phénomène notable, dans les communes de moins de 3 500 habitants où la loi n'oblige pas à la parité hommes-femmes, partout les candidats aux postes de maires – des hommes il est vrai pour la plupart – ont inclus le plus grand nombre possible de femmes dans leurs listes.
Finalement les élus municipaux "y retournent".
Beaucoup avaient pourtant manifesté, il y a quelques mois encore, leur intention de renoncer. Ils étaient exaspérés par une administration d'Etat les accablant de textes et de circulaires, prenant ainsi une sorte de revanche après la peur qu'elle avait eue en se croyant dessaisie de ses privilèges à la suite des lois de décentralisation.
Les élus locaux étaient surtout scandalisés de se voir traînés devant les tribunaux et souvent condamnés pour des accidents survenus sur le territoire de leur commune et dont on les accusait d'être responsables.
Le gouvernement et le parlement les ont entendus.
Ainsi la loi du 10 juillet 2000 prévoit-elle que les élus ne seront condamnés que s'ils ont «violé de façon manifestement délibérée une obligation particulière de prudence ou de sécurité», ou commis «une faute caractérisée».
Ainsi rassérénés, la plupart des maires ont accepté de rempiler. Et ils se retrouvent d'ailleurs, le plus souvent, avec des listes concurrentes.
La démocratie locale est donc sauve.
Elle s'est même améliorée car, phénomène notable, dans les communes de moins de 3 500 habitants où la loi n'oblige pas à la parité hommes-femmes, partout les candidats aux postes de maires – des hommes il est vrai pour la plupart – ont inclus le plus grand nombre possible de femmes dans leurs listes.
La Côte de Beauté
- Cinq candidats pour le canton de La Tremblade
- Une étude sur les mouvements de sable
- Procès de l'Essor : le pêcheur relaxé
- Talmont : une muraille aussi vraie que nature
- Droit : distribution de l'eau, gestion et tarification (suite du n° 50)
Meschers-sur-Gironde
Saint-Georges-de-Didonne
Royan
- Budget : voirie, marché central et Jardins du monde
- Municipales : cinq listes pour «la ville la plus à droite du département»
- 12,4 MF pour l'ancien lycée
Vaux-sur-Mer
Saint-Palais-sur-Mer
Les Mathes-La Palmyre
- Municipales : l'ancienne équipe Caillé se déchire
- Prime fixe et factures d'eau salées !
- «Lever les contraintes du PPR pour le Club Med»
La Tremblade-Ronce-les-Bains
Nature
Histoire
Portrait
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Commentaires
Courrier des lecteurs
De Jean-Paul Coudin (commentaire déposé sur le site)