Sommaire du journal N°63 - Mars/Avril 2003
Chers lecteurs,
Le spectre de la marée noire s'éloigne. La Côte de Beauté n'a presque pas été touchée, le bassin de Marennes-Oléron non plus. Et pourtant les ostréiculteurs enregistrent une perte de 40% sur leurs ventes. L'amalgame a été fait, comme nous l'écrivions, entre Arcachon, où le préfet a cru bon d'interdire la consommation des huîtres pendant quelques jours, et le bassin de Marennes-Oléron.
Il y a pourtant un gendarme rigoureux de la sécurité sanitaire des produits de la mer et particulièrement des coquillages, c'est l'Ifremer. Tant que l'Ifremer n'interdit pas, c'est qu'il n'y a aucun danger. Il n'y a sans doute pas, sur le plan alimentaire, toutes productions confondues, une meilleure protection que celle de l'Institut dont le principal établissement se trouve, on le sait, à Ronce-les-Bains. C'est pourquoi les collectivités devraient, nous semble-t-il, communiquer davantage sur la garantie quasi absolue que représente l'Ifremer pour rassurer le consommateur et au-delà le touriste.
On peut espérer en tout cas que ce dernier comprendra que si les huîtres sont bonnes, la mer et la plage sont propres...
Ajoutons que la forêt de la Coubre a retrouvé, grâce aux efforts de l'Office national des forêts, toute sa beauté d'avant la tempête et qu'on peut s'y promener dorénavant partout en toute sécurité, à pied, à cheval et à vélo... Ce qui n'est pas un mince argument touristique.
Le spectre de la marée noire s'éloigne. La Côte de Beauté n'a presque pas été touchée, le bassin de Marennes-Oléron non plus. Et pourtant les ostréiculteurs enregistrent une perte de 40% sur leurs ventes. L'amalgame a été fait, comme nous l'écrivions, entre Arcachon, où le préfet a cru bon d'interdire la consommation des huîtres pendant quelques jours, et le bassin de Marennes-Oléron.
Il y a pourtant un gendarme rigoureux de la sécurité sanitaire des produits de la mer et particulièrement des coquillages, c'est l'Ifremer. Tant que l'Ifremer n'interdit pas, c'est qu'il n'y a aucun danger. Il n'y a sans doute pas, sur le plan alimentaire, toutes productions confondues, une meilleure protection que celle de l'Institut dont le principal établissement se trouve, on le sait, à Ronce-les-Bains. C'est pourquoi les collectivités devraient, nous semble-t-il, communiquer davantage sur la garantie quasi absolue que représente l'Ifremer pour rassurer le consommateur et au-delà le touriste.
On peut espérer en tout cas que ce dernier comprendra que si les huîtres sont bonnes, la mer et la plage sont propres...
Ajoutons que la forêt de la Coubre a retrouvé, grâce aux efforts de l'Office national des forêts, toute sa beauté d'avant la tempête et qu'on peut s'y promener dorénavant partout en toute sécurité, à pied, à cheval et à vélo... Ce qui n'est pas un mince argument touristique.
La Côte de Beauté
- La forêt, trois ans après la tempête...
- Au cœur de la filière de l'eau
- Bois, solaire : se chauffer autrement
Meschers-sur-Gironde
- Réaménagement de la place de l'église sans l'ancienne mairie
- L'office de tourisme à l'ancienne gendarmerie
Saint-Georges-de-Didonne
Royan
Vaux-sur-Mer
Saint-Palais-sur-Mer
Les Mathes-La Palmyre
La Tremblade-Ronce-les-Bains
Accédez aux autres sommaires
Commentaires
Courrier des lecteurs
De Jean-Paul Coudin (commentaire déposé sur le site)