Sommaire du journal N°68 - Janvier/Février 2004
Chers lecteurs,
Les rivalités politiques ont triomphé, personne n'a voulu céder : il y aura donc deux projets distincts pour célébrer l'huître de Marennes-Oléron, la Cité de l'huître à Marennes, un projet ambitieux de quelque 6 millions d'euros, porté par le Conseil général de Charente-Maritime et les communautés de communes de Marennes et d'Oléron, et la Route de l'huître pilotée par la communauté d'agglomération du pays Royanais.
On peut regretter que les élus n'aient pu s'entendre mais, en tout état de cause, ces deux créations vont contribuer à augmenter l'offre touristique qui devient de plus en plus conséquente au fil des années. Le zoo de La Palmyre reste la locomotive de la Côte de Beauté mais il y a aujourd'hui, outre le Garden pour le tennis et le bridge, le golf et l'hippodrome, les Jardins du Monde, le musée de Royan qui ouvre ses portes, les grottes de Meschers... et demain le Parc de l'estuaire à Saint-Georges, la Maison des dunes et de la forêt à Saint-Palais, le conservatoire du protestantisme et le musée maritime à La Tremblade, la Maison du pineau et du terroir sur le canton de Cozes...
L'alternative nécessaire à un tourisme purement balnéaire est donc enclenchée.
A propos de balnéaire, Meschers a entamé, on le sait, la procédure de demande de classement en station balnéaire qui présente un certain nombre d'avantages notamment financiers. On souhaite aux élus michelais d'avoir plus de chance que ceux de Vaux-sur-Mer qui attendent leur classement depuis 17 ans ! Ce qui semble vraiment injuste.
Les rivalités politiques ont triomphé, personne n'a voulu céder : il y aura donc deux projets distincts pour célébrer l'huître de Marennes-Oléron, la Cité de l'huître à Marennes, un projet ambitieux de quelque 6 millions d'euros, porté par le Conseil général de Charente-Maritime et les communautés de communes de Marennes et d'Oléron, et la Route de l'huître pilotée par la communauté d'agglomération du pays Royanais.
On peut regretter que les élus n'aient pu s'entendre mais, en tout état de cause, ces deux créations vont contribuer à augmenter l'offre touristique qui devient de plus en plus conséquente au fil des années. Le zoo de La Palmyre reste la locomotive de la Côte de Beauté mais il y a aujourd'hui, outre le Garden pour le tennis et le bridge, le golf et l'hippodrome, les Jardins du Monde, le musée de Royan qui ouvre ses portes, les grottes de Meschers... et demain le Parc de l'estuaire à Saint-Georges, la Maison des dunes et de la forêt à Saint-Palais, le conservatoire du protestantisme et le musée maritime à La Tremblade, la Maison du pineau et du terroir sur le canton de Cozes...
L'alternative nécessaire à un tourisme purement balnéaire est donc enclenchée.
A propos de balnéaire, Meschers a entamé, on le sait, la procédure de demande de classement en station balnéaire qui présente un certain nombre d'avantages notamment financiers. On souhaite aux élus michelais d'avoir plus de chance que ceux de Vaux-sur-Mer qui attendent leur classement depuis 17 ans ! Ce qui semble vraiment injuste.
La Côte de Beauté
- Couleurs et saveurs du pays Royannais
- Vols de moteurs à répétition
- Une saison estivale chaotique
- Une cité de l'huître au cœur de Marennes
Meschers-sur-Gironde
Saint-Georges-de-Didonne
Royan
Vaux-sur-Mer
Saint-Palais-sur-Mer
Les Mathes-La Palmyre
- Sécuriser la plage du Clapet
- Coup de jeune pour le centre-bourg
- La capitainerie sort de terre
- Les doléances des propriétaires
La Tremblade-Ronce-les-Bains
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Courrier des lecteurs
Deux familles habituées de Saint-Georges-de-Didonne