Sommaire du journal N°70 - Mai/Juin 2004
Chers lecteurs,
Comme nous en avons pris l'habitude tous les trois ans, nous consacrons ce numéro à un entretien avec les maires, qui se situe cette fois à mi-mandat. Seul celui avec le maire de Royan, par ailleurs président de la communauté d'agglomération du pays Royannais, a été reporté à notre prochain numéro.
Cette communauté de communes s'est certes, au fil du temps, octroyé de nombreuses compétences mais il reste encore aux maires de larges marges de manœuvre dans leurs communes. Ils les utilisent le plus souvent avec dynamisme. Les élus ne se reposent plus, comme cela a pu être le cas autrefois, sur la simple attente de la manne touristique de l'été.
Ils aménagent et anticipent face à une importante pression foncière.
A Meschers même, qui semblait préservée en fonction de sa situation excentrée, l'arrivée de la rocade, même si elle n'atteint pas encore directement le village, a fait flamber les prix de l'immobilier. Ce qui ne permet plus, là comme ailleurs sur la Côte de Beauté, aux jeunes de s'installer et oblige les communes et la communauté d'agglomération à prévoir des logements sociaux le plus souvent à la périphérie des centres. Presque toutes les communes ont heureusement des réserves foncières importantes. Les élus n'entendent pas, pour autant, les brader et céder, ce faisant, à une urbanisation débridée.
C'est ce qui a changé par rapport à il y a quelques années : les élus ne se contentent plus d'administrer au jour le jour. Ils sont engagés dans une réflexion à long terme sur l'aménagement de leur territoire, sachant que la Côte de Beauté, objet de toutes les convoitises immobilières, doit impérativement maîtriser son urbanisation et préserver son environnement.
Comme nous en avons pris l'habitude tous les trois ans, nous consacrons ce numéro à un entretien avec les maires, qui se situe cette fois à mi-mandat. Seul celui avec le maire de Royan, par ailleurs président de la communauté d'agglomération du pays Royannais, a été reporté à notre prochain numéro.
Cette communauté de communes s'est certes, au fil du temps, octroyé de nombreuses compétences mais il reste encore aux maires de larges marges de manœuvre dans leurs communes. Ils les utilisent le plus souvent avec dynamisme. Les élus ne se reposent plus, comme cela a pu être le cas autrefois, sur la simple attente de la manne touristique de l'été.
Ils aménagent et anticipent face à une importante pression foncière.
A Meschers même, qui semblait préservée en fonction de sa situation excentrée, l'arrivée de la rocade, même si elle n'atteint pas encore directement le village, a fait flamber les prix de l'immobilier. Ce qui ne permet plus, là comme ailleurs sur la Côte de Beauté, aux jeunes de s'installer et oblige les communes et la communauté d'agglomération à prévoir des logements sociaux le plus souvent à la périphérie des centres. Presque toutes les communes ont heureusement des réserves foncières importantes. Les élus n'entendent pas, pour autant, les brader et céder, ce faisant, à une urbanisation débridée.
C'est ce qui a changé par rapport à il y a quelques années : les élus ne se contentent plus d'administrer au jour le jour. Ils sont engagés dans une réflexion à long terme sur l'aménagement de leur territoire, sachant que la Côte de Beauté, objet de toutes les convoitises immobilières, doit impérativement maîtriser son urbanisation et préserver son environnement.
La Côte de Beauté
Meschers-sur-Gironde
Saint-Georges-de-Didonne
Vaux-sur-Mer
Saint-Palais-sur-Mer
Les Mathes-La Palmyre
La Tremblade-Ronce-les-Bains
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Commentaires
Courrier des lecteurs
De Jacqueline Ellie (commentaire déposé sur le site)