Sommaire du journal N°79 - Novembre/Décembre 2005
Chers lecteurs,
Nous évoquions, dans notre dernier numéro, ce phénomène nouveau que constitue le regroupement d'association de résidents, principaux et secondaires, qui s'unissent pour aborder les problèmes de fond qui concernent leur environnement proche.
Les révisions des plans locaux d'urbanisme que les communes entament, et qui engagent leur avenir pour les décennies à venir, sont de ce point de vue une occasion unique pour élaborer des propositions. Nous citions le cas de Saint-Georges-de-Didonne où six associations – et non pas cinq comme nous l'avions écrit – ont constitué un collectif pour synthétiser leurs souhaits. Nous étions loin de nous douter du travail réalisé en aussi peu de temps. On lira, dans ce journal, le résumé des propositions de ces associations qui ne se contentent pas de défendre leur pré carré mais tentent de définir une politique générale d'aménagement.
On doit reconnaître que le terrain est favorable, à Saint-Georges, en raison de l'écoute des élus. L'ancien maire, et actuel ministre, Dominique Bussereau avait donné l'exemple, il y a de nombreuses années déjà, en organisant la consultation de la population sur l'avenir du port. Et, fait notable, il y avait convié les résidents secondaires. Ce qui, à l'époque, n'était pas commun, les élus n'ayant pas pour habitude de demander leur avis à cette catégorie de contribuables qui n'étaient pas des électeurs...
Les choses changent et il faut souhaiter que l'exemple de Saint-Georges se généralise. Les résidents secondaires, actifs ou retraités, représentent un gisement considérable de compétences dont les élus auraient tort de se passer.
Nous évoquions, dans notre dernier numéro, ce phénomène nouveau que constitue le regroupement d'association de résidents, principaux et secondaires, qui s'unissent pour aborder les problèmes de fond qui concernent leur environnement proche.
Les révisions des plans locaux d'urbanisme que les communes entament, et qui engagent leur avenir pour les décennies à venir, sont de ce point de vue une occasion unique pour élaborer des propositions. Nous citions le cas de Saint-Georges-de-Didonne où six associations – et non pas cinq comme nous l'avions écrit – ont constitué un collectif pour synthétiser leurs souhaits. Nous étions loin de nous douter du travail réalisé en aussi peu de temps. On lira, dans ce journal, le résumé des propositions de ces associations qui ne se contentent pas de défendre leur pré carré mais tentent de définir une politique générale d'aménagement.
On doit reconnaître que le terrain est favorable, à Saint-Georges, en raison de l'écoute des élus. L'ancien maire, et actuel ministre, Dominique Bussereau avait donné l'exemple, il y a de nombreuses années déjà, en organisant la consultation de la population sur l'avenir du port. Et, fait notable, il y avait convié les résidents secondaires. Ce qui, à l'époque, n'était pas commun, les élus n'ayant pas pour habitude de demander leur avis à cette catégorie de contribuables qui n'étaient pas des électeurs...
Les choses changent et il faut souhaiter que l'exemple de Saint-Georges se généralise. Les résidents secondaires, actifs ou retraités, représentent un gisement considérable de compétences dont les élus auraient tort de se passer.
La Côte de Beauté
- Les Marennes Oléron partent en campagne
- La CdA souhaite acheter 38 ha de forêt
- Alerte à la pollution
- Les animations... l'hiver aussi
Meschers-sur-Gironde
Saint-Georges-de-Didonne
Royan
- Le tribunal dit non à Monsieur Bricolage
- Visite guidée sur papier glacé
- Quand les Royannais se souviennent...
Vaux-sur-Mer
Saint-Palais-sur-Mer
Les Mathes-La Palmyre
- Les pistes cyclables au programme
- Projet du golf : enquête publique pour la révision simplifiée du PLU
- Création d'une salle de cinéma le Palmyre
- Zoo de La Palmyre, une vraie pouponnière
La Tremblade-Ronce-les-Bains
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