Sommaire du journal N°75 - Mars/Avril 2005
Chers lecteurs,
On commémorera au mois d'avril le 60e anniversaire de la libération de la poche de Royan. Douloureux souvenir pour les anciens qui n'oublient pas la suite d'erreurs qui avaient conduit au mois de janvier 1945 à l'anéantissement de leur ville pas plus qu'ils n'oublient que les combats pour la libération de la poche de Royan entre le 14 et le 18 avril 1945 étaient inutiles –comme l'estimait le futur maréchal Leclerc –, alors que l'Allemagne du IIIe Reich s'effondrait sous les bombes. Hitler se suicidera le 30 avril, l'Allemagne capitulera le 8 mai. On commémorera ainsi au mois d'avril, dans le pays Royannais, ces morts "pour rien" sinon pour la conception que de Gaulle avait, à l'inverse de Leclerc, de l'honneur d'une nation. Ils sont enterrés pour la plupart au cimetière de Rétaud où les croissants musulmans côtoient les croix chrétiennes. Et c'est les poings serrés qu'on leur rendra hommage en pensant à la funeste farce qu'a été cette victoire militaire dont ils ont été les victimes.
Pour changer de sujet et parler du présent, on lira avec intérêt la façon – pacifique – dont Vaux, dans la droite ligne des orientations du pays Royannais, envisage l'avenir. Ces orientations, définies dans le schéma de cohérence territoriale, soulève une question d'importance. Celui de l'augmentation considérable de la population du pays Royannais. Il est admis que celui-ci peut accueillir au maximum 90 000 habitants. Si l'on continue au rythme des constructions actuelles, il en comptera 100 000 d'ici vingt ans et sera «au bord de l'asphyxie», selon l'expression d'Alain Le Riche, adjoint au maire de Vaux. Il est donc urgent de maîtriser l'urbanisation et de la rééquilibrer vers le sud-est de la Côte de Beauté.
On commémorera au mois d'avril le 60e anniversaire de la libération de la poche de Royan. Douloureux souvenir pour les anciens qui n'oublient pas la suite d'erreurs qui avaient conduit au mois de janvier 1945 à l'anéantissement de leur ville pas plus qu'ils n'oublient que les combats pour la libération de la poche de Royan entre le 14 et le 18 avril 1945 étaient inutiles –comme l'estimait le futur maréchal Leclerc –, alors que l'Allemagne du IIIe Reich s'effondrait sous les bombes. Hitler se suicidera le 30 avril, l'Allemagne capitulera le 8 mai. On commémorera ainsi au mois d'avril, dans le pays Royannais, ces morts "pour rien" sinon pour la conception que de Gaulle avait, à l'inverse de Leclerc, de l'honneur d'une nation. Ils sont enterrés pour la plupart au cimetière de Rétaud où les croissants musulmans côtoient les croix chrétiennes. Et c'est les poings serrés qu'on leur rendra hommage en pensant à la funeste farce qu'a été cette victoire militaire dont ils ont été les victimes.
Pour changer de sujet et parler du présent, on lira avec intérêt la façon – pacifique – dont Vaux, dans la droite ligne des orientations du pays Royannais, envisage l'avenir. Ces orientations, définies dans le schéma de cohérence territoriale, soulève une question d'importance. Celui de l'augmentation considérable de la population du pays Royannais. Il est admis que celui-ci peut accueillir au maximum 90 000 habitants. Si l'on continue au rythme des constructions actuelles, il en comptera 100 000 d'ici vingt ans et sera «au bord de l'asphyxie», selon l'expression d'Alain Le Riche, adjoint au maire de Vaux. Il est donc urgent de maîtriser l'urbanisation et de la rééquilibrer vers le sud-est de la Côte de Beauté.
La Côte de Beauté
Meschers-sur-Gironde
Saint-Georges-de-Didonne
Royan
Vaux-sur-Mer
Saint-Palais-sur-Mer
- Aménagement du parc Raymond-Vignes
- Hôtel du Commerce : début des travaux en octobre ?
- Nouvelle école de voile en 2006
- Où l'on reparle de la station d'épuration...
Les Mathes-La Palmyre
La Tremblade-Ronce-les-Bains
Nature
Histoire
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Commentaires
Courrier des lecteurs
M. Pierre Farcy (Périgueux), propriétaire à Meschers-sur-Gironde, nous a envoyé un courrier adressé à la mairie.