Sommaire du journal N°95 - Juillet/Août 2008
Chers lecteurs,
Pas mal la définition par Dominique Bussereau d'une communauté de communes : «Un lieu où l'on fait ensemble ce que l'on ferait moins bien et plus cher tout seul.» Une formule qu'on pourrait qualifier de stendhalienne dans sa concision et qui pourrait servir de leçon à quelques maires arc-boutés dans la défense de leurs prérogatives et qui redoutent par-dessus tout de n'avoir, dans quelques années, que les chrysanthèmes à inaugurer...
On lira donc, dans ce journal, l'interview de l'ancien maire de Saint-Georges-de-Didonne, devenu président du Conseil général de Charente-Maritime. Soyons clair : il est évident que Dominique Bussereau ne défavorisera pas la Côte de Beauté de la même façon que son prédécesseur, Claude Belot, de Jonzac, n'oubliait jamais, dans la distribution des subventions, la Saintonge intérieure.
Dans un registre plus politicien, et pour l'anecdote, on sait que l'actuel secrétaire d'Etat aux Transports – qui postule au titre de recordman de la longévité ministérielle – est chargé par son copain d'enfance Jean-Pierre Raffarin de tacler Ségolène Royal chaque fois que l'occasion se présente – et même s'il n'y a pas d'occasion... On verra ici qu'il ne manque pas à sa «mission».
Le champion des recours administratifs, Alain Géniteau, a encore frappé. Il a fait annuler les élections municipales de Saint-Palais où il s'est présenté et a été battu. Les Saint-Palaisiens devront donc retourner voter. Quand ? Personne ne le savait à l'heure où nous imprimions ce journal. En attendant, la municipalité en place, qui gère les affaires courantes, a annulé le festival pyrotechnique du 17 juillet et sa particiation au Jumping international. Dommage !
Pas mal la définition par Dominique Bussereau d'une communauté de communes : «Un lieu où l'on fait ensemble ce que l'on ferait moins bien et plus cher tout seul.» Une formule qu'on pourrait qualifier de stendhalienne dans sa concision et qui pourrait servir de leçon à quelques maires arc-boutés dans la défense de leurs prérogatives et qui redoutent par-dessus tout de n'avoir, dans quelques années, que les chrysanthèmes à inaugurer...
On lira donc, dans ce journal, l'interview de l'ancien maire de Saint-Georges-de-Didonne, devenu président du Conseil général de Charente-Maritime. Soyons clair : il est évident que Dominique Bussereau ne défavorisera pas la Côte de Beauté de la même façon que son prédécesseur, Claude Belot, de Jonzac, n'oubliait jamais, dans la distribution des subventions, la Saintonge intérieure.
Dans un registre plus politicien, et pour l'anecdote, on sait que l'actuel secrétaire d'Etat aux Transports – qui postule au titre de recordman de la longévité ministérielle – est chargé par son copain d'enfance Jean-Pierre Raffarin de tacler Ségolène Royal chaque fois que l'occasion se présente – et même s'il n'y a pas d'occasion... On verra ici qu'il ne manque pas à sa «mission».
Le champion des recours administratifs, Alain Géniteau, a encore frappé. Il a fait annuler les élections municipales de Saint-Palais où il s'est présenté et a été battu. Les Saint-Palaisiens devront donc retourner voter. Quand ? Personne ne le savait à l'heure où nous imprimions ce journal. En attendant, la municipalité en place, qui gère les affaires courantes, a annulé le festival pyrotechnique du 17 juillet et sa particiation au Jumping international. Dommage !
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Commentaires
Courrier des lecteurs
Mme Ubin, propriétaire à Saint-Georges-de-Didonne, s’est dite blessée par le ton et le contenu de cet article qui porte une grave atteinte à l’image de notre commune et à ses habitants.